Camila Cabello révèle être atteinte de troubles obsessionnels compulsifs

Publié : 29 mai 2020 à 14h45 par A.L.

Camila Cabello se confie sur sa santé mentale.

Crédit : Capture d'écran YouTube - Clip "Romance"

Dans un essai publié par magazine "WSJ" ce jeudi 28 mai 2020, Camila Cabello s'est confiée sur le combat qu'elle mène depuis longtemps lié à ses troubles obsessionnels compulsifs.

Depuis la sortie du titre Señorita en duo avec Shawn Mendes, Camila Cabello ne cesse de faire la Une des médias pour le couple qu'elle forme avec son partenaire de chanson. Mais en dehors sa relation avec le jeune homme Camila Cabello étonne et séduit par son immense talentEn effet, l'interprète de Shameless, née le 3 mars 1997 à Cuba, puis devenue citoyenne américaine en 2008, n'a jamais été aussi populaire. Son titre planétaire, Havana, arraché à plus de 19 millions d'exemplaires, lui a permis de devenir l'une des révélations incontestées de 2018. Et le moins que l'on puisse dire c'est que son nouvel opus dévoilé il y a quelques mois, Romance, suit la même trajectoire vers le succès. 



Camila Cabello se confie sur sa santé mentale



Si la réussite semble donc au rendez-vous pour Camila Cabello, le quotidien n'est malheureusement pas toujours rose pour la jeune chanteuse. En effet dans un essai publié par magazine WSJ ce jeudi 28 mai 2020, la star a partagé ses douleurs et a notamment expliqué ce qu’elle endurait loin des projecteurs. Sujette à des troubles qui se manifestent sous la forme de pensées obsessionnelles et de comportements compulsifs, Camila Cabello a décidé de parler en toute transparence. 


"Si vous regardez les photos que j’ai publiées sur Instagram au cours de la dernière année, vous trouverez des photos de moi écrivant en studio, des photos dans un couloir, dans une bombe de tenue avant de monter sur scène, des photos de moi pelotonnée avec mon chien, Eugene, sur un canapé, et des photos de moi débordant d’excitation avant de vous jouer ma musique", a-t-elle écrit. "Mais voici ce qu’il n’y a pas en photos l’année dernière : moi pleurant dans la voiture en parlant à ma mère de l’anxiété et des TOC dont je souffre, ma mère et moi dans une chambre d’hôtel lisant des livres sur les TOC parce que je cherche désespérément un soulagement. Je ressentais ce qui ressemblait à de l’anxiété constante, inébranlable et implacable qui rendait la vie quotidienne douloureusement difficile", a dévoilé faisant preuve d'une grande franchise.








"J’étais embarrassée et honteuse", a-t-elle regretté pour justifier le fait de n'en avoir jamais parlé à temps. "Je ne pouvais pas dormir longtemps, j’avais un nœud dans la gorge, j’avais des maux de tête chroniques, et mon corps traversait ce qui ressemblait à des tours de montagnes russes chaque jour", a-t-elle conclu. On lui souhaite beaucoup de courage !