Elle se venge après une dispute en appelant la police pour dire que son petit ami a le coronavirus

Publié : 21 février 2020 à 17h20 par A.L.

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Crédit : Pixabay

Une Chinoise âgée de 39 ans a appelé la police pour dire que son compagnon, qui selon elle lui devait des excuses, était atteint du Covid-19.

À l'heure actuelle, plus de 2.200 personnes sont mortes de l’épidémie du nouveau coronavirus, presque exclusivement en Chine où plus de 75.000 personnes ont été contaminées. Si une jeune chinoise s'est servie du virus pour échapper à un viol, comme l'a récemment rapporté Dailyhunt, une autre résidente du pays, Ma, a passé 16 appels aux forces de l'ordre de Tianjin, la province située au nord-est de la Chine d'où elle est originaire, pour leur faire croire que son compagnon avait le coronavirus, comme le relate le Daily Mail. En effet, étant donné que ce dernier avait refusé de s'excuser après une dispute, la femme de 39 ans a expliqué à la police que son compagnon avait quitté l'appartement dans lequel ils vivaient alors qu'il toussait et avait de la fièvreUne attitude - si elle était vraie - qui va à l'encontre de toutes les règles de sécurité et de confinement actuellement en vigueur dans le pays.














Woman calls police 16 times falsely claiming boyfriend has coronavirus because 'he failed to apologise to her after argument' https://t.co/AtyrqcuRuo


— Daily Mail Online (@MailOnline) February 20, 2020





Fausses accusations proférées envers un tiers



Face à ce signalement, les policiers se sont alors mis à la recherche de son compagnon. Seulement voilà, lorsqu'ils l'ont retrouvé, réfugié chez l'un de ses amis, ses examens médicaux ont révélé qu'il était en bonne santé. La jeune femme a fini par avouer qu'elle avait délibérément inventé toute cette histoire pour se venger de lui après une dispute. Elle a notamment confié avoir été sous l'empire de l'alcool de riz au moment des appels passés à la police. Ma a été placée en détention pour une durée indéterminée après avoir été reconnue coupable de fausses accusations proférées envers un tiers et trouble à l'ordre public et social.