42 jours en mer sans accoster : l’incroyable histoire de la croisière MSC Magnifica (vidéo)
Publié : 18 juin 2020 à 9h36 par A.L.
2 156 passagers, qui pensaient embarquer à bord de la croisière MSC Magnifica pour un tour du monde d'une durée de quatre mois, ont vu leurs plans complètement chamboulés par l'épidémie de Covid-19. Décryptage.
2 156. C'est le nombre de passagers qui ont embarqué, le 6 janvier dernier, pour une extraordinaire croisière de quatre mois autour du monde à bord du MSC Magnifica, un paquebot né il y a plus dix ans aux Chantiers de l’Atlantique de Saint-Nazaire. Malheureusement, ils ne s'attendaient pas à vivre une telle aventure. Coronavirus oblige, leurs plans ont été fortement impactés par la pandémie qui a paralysé le monde entier. Alors qu'ils devaient visiter cinq continents en 117 jours, changement de programme : le bateau s'immobilise en même temps que la planète se confine. L'ensemble des escales sont annulées.
42 jours sans voir la terre
Ainsi, les passagers se retrouvent bloqués à bord du paquebot et sont forcés à rester 42 jours à bord sans voir la terre. "Le plus dur, ça a été les 14 premiers jours. Cinq cents passagers ont décidé de quitter le navire pour être rapatriés. Le débarquement s'est fait un peu dans l'urgence, c'était chaotique. Nous, on a préféré rester sur le bateau", a témoigné Laurent, l'un des passagers, à La Provence. Quelques jours plus tard, le navire reçoit l'autorisation d'accoster à Marseille. "On savait qu'il n'y avait pas de cas à bord. On était comme dans un cocon, une prison dorée. Sur le bateau, on formait une petite famille. On a continué tous ensemble à profiter des multiples animations jusqu'à notre arrivée à Marseille le 21 avril", a continué le vacancier. Une histoire extraordinaire à retrouver dans un documentaire de Zone Interdite, ce dimanche 21 juin à 21h sur M6.
/t:r(unknown)/fit-in/300x2000/filters:format(webp)/filters:quality(100)/radios/vibration/images/logo_A88whB8Nny.png)
/t:r(unknown)/fit-in/500x875/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/inesreg___vibra173753583549917376511168081741004378349-format4by7.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/240427_Pierre_Garnier1714137824261-format16by9.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x375/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/240420_Cocorico_electro1713345477894-format16by9.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/400x225/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/11714480563388-format16by9.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/400x225/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/attal1714477760955-format16by9.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/400x225/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/justice_2060093_1920__11__jpg-format16by9.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/400x225/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/groups_default_cover_photo_2x1713796056587-format16by9.png)

/t:r(unknown)/fit-in/500x281/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/image001801714057439290-format16by9.jpeg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x281/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/Capture_d_e_cran_2024_04_25_a__11_18_371714036757275-format16by9.png)
/t:r(unknown)/fit-in/500x281/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/Slimane1713791241346-format16by9.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x281/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/Capture_d_e_cran_2024_04_18_a__10_41_051713429724686_format16by91713516896015-format16by9.webp)
/t:r(unknown)/fit-in/500x281/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/cine_1ermai1713793917162-format16by9.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x281/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/6ScVccATPNIrH8HpgKHxxnezYdV70VztiuBC0iWA1714114400192-format16by9.jpeg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x281/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/EP_Voltron_Nevera_Famille_Mack1714136618684-format16by9.jpg)
/t:r(unknown)/fit-in/500x281/filters:format(webp)/medias/Vsj0LZpM34/image/pexels_timmossholder_17099291713939758556-format16by9.jpg)